BLABLACARLIKE

Overview

L’histoire de ce projet commence avec un constat simple : nos déplacements quotidiens sont souvent synonymes de stress, de dépenses et d’inefficacité. Entre le travail, les études et les activités personnelles, chacun cherche une manière plus fluide et plus durable de se déplacer.
En observant ces besoins émergents et le rythme de vie urbain actuel, le projet est né : imaginer une application de covoiturage pensée pour l’usage quotidien.
Conçue selon la méthode SCRUM, cette application vise à offrir une expérience évolutive, centrée sur les utilisateurs et adaptée à leurs habitudes réelles.

Problème

Bien que la mobilité durable soit une préoccupation croissante, beaucoup de gens peinent à adopter des solutions concrètes.
Les plateformes de covoiturage existantes sont souvent orientées vers les longs trajets, peu flexibles et pas adaptées aux besoins du quotidien. Résultat : les utilisateurs se retrouvent sans solution simple pour partager de courts déplacements réguliers.
Ils recherchent un moyen fiable, accessible et rapide pour organiser et rejoindre des trajets quotidiens, tout en contribuant à la réduction des coûts, du trafic et des émissions de CO₂.
Le manque d’un outil vraiment intuitif et aligné sur leurs routines est aujourd’hui un frein majeur à l’essor du covoiturage quotidien.

« En 2025, ADEME rapporte que 16 millions de Français ont partagé leur voiture au moins une fois dans l’année — ce qui montre qu’un large public est déjà prêt à pratiquer le covoiturage, y compris pour des trajets courts ou quotidiens. »

Cible

Idéation et phase de recherche :

Après avoir étudié les personas et analysé les User Stories, nous avons entamé une phase d’idéation afin de définir les fonctionnalités essentielles à intégrer dans nos wireframes. Cette étape nous a permis d’explorer différentes pistes, de prioriser les besoins utilisateurs et de poser les premières bases du futur parcours au sein de l’application.

MOSCOW :

L’étape suivante consiste naturellement à organiser et hiérarchiser l’ensemble des fonctionnalités issues de nos User Stories. Pour cela, nous avons utilisé la méthode MoSCoW, un outil de priorisation largement employé en gestion de projet agile.

La méthode MoSCoW permet de classer chaque fonctionnalité selon quatre niveaux d’importance :

• Must have : les éléments indispensables au fonctionnement minimal du produit.

• Should have : des fonctionnalités importantes mais non vitales pour la première version.

• Could have : des ajouts appréciables, intégrables si le temps et les ressources le permettent.

• Won’t have : des éléments exclus pour le moment, mais potentiellement envisagés dans une version future.

Cette approche nous a permis de structurer efficacement la feuille de route du projet et de nous concentrer sur ce qui apporte le plus de valeur à l’utilisateur dès les premières itérations.

En parallèle, nous créons un Product Backlog qui permet de :

• Centraliser l’ensemble des fonctionnalités, idées et besoins identifiés durant la phase d’idéation et d’analyse des User Stories.

• Offrir une vision claire et hiérarchisée de toutes les tâches à réaliser, qu’il s’agisse d’éléments essentiels ou de futures améliorations.

• Faciliter la planification des sprints, en permettant à l’équipe SCRUM de sélectionner les éléments prioritaires à développer.

• Assurer la transparence et l’alignement entre tous les membres de l’équipe, en rendant visibles l’avancement et l’évolution du produit au fil du projet.

• Adapter le projet en continu, puisque le Product Backlog reste un document vivant, mis à jour en fonction des retours, besoins et contraintes techniques rencontrées.

S.C.R.U.M et Organisation

Les tâches ont été organisées sur Trello, un outil qui nous a permis de structurer efficacement le travail et de répartir les responsabilités au sein de l’équipe. Sur ce tableau, chaque tâche était classée en fonction de son état d’avancement — À faire, En cours, Terminé — afin de garantir une visibilité claire et partagée par tous.

Parallèlement, l’équipe a élaboré un planning précis pour organiser les sprints ainsi que les différents points de synchronisation. Cette organisation nous a permis d’assurer un suivi régulier de la progression du projet et de maintenir une cadence de travail stable et cohérente.

Nous avons également instauré trois réunions quotidiennes :

• un premier point d’équipe en début de journée pour définir les priorités,

• une réunion intermédiaire avec l’intervenant afin d’obtenir des retours et ajustements,

• puis un dernier échange en fin de journée pour réaliser le bilan du sprint en cours et préparer la transition vers le sprint suivant.

Cette méthode de fonctionnement, inspirée de la philosophie SCRUM, nous a permis de rester alignés, réactifs et d’optimiser au mieux l’avancement du projet.